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La Cour des Ténèbres, de Victor Dixen

Dernière mise à jour : 20 févr. 2023



Résumé : En l’an de grâce 1715, le Roy-Soleil s’est transmuté en vampyre pour devenir le Roy des Ténèbres. Depuis, il règne en despote absolu sur la Vampyria : une vaste coalition à jamais figée dans un âge sombre, rassemblant la France et ses royaumes vassaux. Un joug de fer est imposé au peuple, maintenu dans la terreur et littéralement saigné pour nourrir l’aristocratie vampyrique.


Trois siècles plus tard, Jeanne est arrachée à sa famille de roturiers et catapultée à l’école formant les jeunes nobles avant leur entrée à la Cour. Entre les intrigues des morts-vivants du palais, les trahisons des autres élèves et les abominations grouillant sous les ors de Versailles, combien de temps Jeanne survivra-t-elle ?


 

Mon avis : Quand j'ai commencé ce livre, je me disais : "c'est du Victor Dixen, ça va forcément être génial !". Erreur.


Commençons par ce qui m'a vraiment gênée dans cette histoire : le personnage principal. Jeanne est un personnage qui, bien sûr, est révolté contre le système. À chaque fois qu'il se passe quelque chose de honteux, elle proteste alors que cela ne fait qu’aggraver sa situation. Ces choses-là ne m'aidaient pas à l'apprécier. Mais ce qui m'énervait le plus, c'était qu'à chaque fois qu'elle se trouvait dans une situation dangereuse ou instable, elle arrivait finalement à la retourner à son avantage grâce à son incroyable intelligence. Et, bien sûr, elle se fait dans son école une ennemie qui lui fait des blagues douteuses.


J'ai en revanche trouvé très intéressante l'idée que Louis XIV n'était pas mort le 31 octobre 1715 et était devenu un vampire. J'avais envie tout au long de ma lecture d'en apprendre plus sur les Ténèbres, qui sont très mystérieuses et créent des abominations quand on les utilise, quel que soit l'usage qu'on en fait. Des abominations qui ne sont éveillées que la nuit... J'adore vraiment cette idée, et je suis déçue de ne pas en savoir davantage.


J'ai également apprécié l'école et l'esprit de compétition qui y règne, même si je n'ai apprécié aucun des camarades de Jeanne, à part deux d'entre eux (Naoko Takagari et Rafael de Montesueño, si vous voulez savoir).


Par contre, les descriptions étaient très détaillées et aidaient à visualiser le décor. De ce côté-là, le vocabulaire est soutenu et la lecture agréable.


Bref. Ce fut une lecture mitigée et je ne sais pas si je continuerais la série...

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